Avez-vous déjà entendu parler de l’art numérique ? Ce type d’art rassemble des œuvres qui utilisent les spécificités du monde numérique. Il s’est développé en tant que genre à part entière depuis la fin des années 1950. Aujourd’hui, un nouveau courant, composé de milliers de designer proposant des œuvres 100% numérique, s’est développé. Or le numérique n’a pas que des bons côtés. En effet, il est impossible (et logique) de posséder physiquement une œuvre numérique et par conséquent impossible pour un artiste de vendre son œuvre « réelle ». Même pire, son travail est disponible gratuitement partout sur le web.
Mais depuis quelques mois et grâce aux nouvelles technologies, en particulier grâce à la Blockchain ce type d’art connaît un essor important. Vous vous demandez ce qu’est le Blockchain ? Eh bien, cette technologie est une base de données sécurisée où des informations peuvent être envoyées par des utilisateurs. Ces dernières sont vérifiées et sécurisées par cryptologie, une sorte de serrure numérique si vous voulez. Il est donc possible d’identifier une œuvre d’art et d’assurer son authenticité en la protégeant par un accès unique.
De nombreuses plateformes comme Nifty Gateways proposent d’acheter un titre de propriété numérique de l’œuvre soit un NFT, un jeton non fongible. Ce type de jeton cryptographique non échangeable garantit la propriété d’une œuvre sur le web. Créant ainsi de la propriété sur le web et de la rareté dans un monde qui en manquait.
Ce phénomène prend tellement d’ampleur qu’il secoue le monde classique de l’art et surtout de sa vente. L’artiste américain Beeple, 39 ans, a vendu le mois dernier, une de ses œuvres numériques dans la célèbre maison de vente Christie's pour la modique somme de 69 millions de dollars. Cette œuvre nommée The First 5000 days est constituée de 5'000 dessins créés par l’artiste, soit un dessin par jour pendant 13 ans. Elle fait désormais partie des oeuvres contemporaines les plus chères au monde !
Il collabore également avec de grandes marques comme Louis Vuitton et des stars célèbres pour la réalisation de clips. Un nouveau marché parfois critiqué par son intangibilité et sa frivolité et par le fait qu’il favoriserait les artistes déjà connus mais ne garantirait pas le succès à tous les designers du monde.
Ce mois, on vous présente brièvement la notion de copywriting, on reviendra très prochainement sur le sujet dans un article complet. Cette pratique est à distinguer du journalisme. En effet, elle consiste à rédiger de façon professionnelle différents textes afin de déclencher des actions de la part du lecteur et surtout de le convaincre.
Aujourd’hui, cette démarche s’inscrit surtout dans des stratégies de contenu. Un copywriter est amené à rédiger des textes pour des descriptifs de produit, des brochures, des publicités dans les journaux mais également sur des supports en ligne tels que des sites internet, des articles de blogs ou encore des publications sur les réseaux sociaux.
Tout le monde ne peut s’improviser expert en copywriting. Il ne suffit pas de savoir écrire juste pour que le texte soit efficace. Le travail est plus complexe qu’il n’y paraît. Il faut comprendre la cible à laquelle est destiné le texte tout en s’assurant d’une cohérence entre le message, le texte et le graphisme du support. Il faut pouvoir mettre en avant le fameux USP (unique selling proposition) du produit/service d’une marque pour provoquer une action.Il faut toujours que l’action soit simple et peu coûteuse pour la personne à qui est destiné le contenu. Cette pratique a également de l’importance pour les supports en ligne de par le fonctionnement des algorithmes de référencement qui préfèrent un certain type d’écriture. En effet, un bon copywriting peut aussi améliorer le SEO de votre site internet. On vous conseille donc de vous approcher de prestataire proposant ce service. Les résultats seront au rendez-vous !
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Saviez-vous que nous passions en moyenne dans une vie 99’117 heures au travail soit l’équivalent de 11 années et demie. Ce chiffre peut donner le vertige, mais il permet surtout de se rendre définitivement compte que le travail occupe une grande place dans notre vie. Il nous permet d’accéder certes à une certaine stabilité financière mais il est également une source d’épanouissement personnel importante. C’est le cas pour tout le monde y compris les personnes en situations de handicap qui font face injustement à plus de difficultés dans la recherche d’emploi due à des clichés sur leurs capacités qui malheureusement persistent.
Pour la journée mondiale de la Trisomie 21, l’association CoorDown a créé une campagne « The Hiring chain » dont voici le message : « en engageant quelqu’un porteur de Trisomie 21, vous enclenchez un cercle vertueux ». Si on a souhaité vous parler de cette campagne c’est parce qu’on la trouve extrêmement bien faite et qu’elle est porteuse d’ouverture et d’inclusion dans l’insertion des personnes en situation de handicap.
La campagne, menée par l'agence de création SMALL basée à New York et Indiana Productions est présentée sous forme d'un clip musical dans lequel on y voit d’abord une boulangère, Simone, atteinte du syndrome de Down, remarquée positivement par les clients. Parmi eux se trouve un avocat qui décide d'embaucher à son tour John, un homme atteint du syndrome de Down et comme vous pouvez le deviner, la vidéo s’enchaîne sur la même dynamique. Voilà comment illustrer parfaitement ce magnifique cercle vertueux. Et pour que la campagne fonctionne encore mieux, l’association a sollicité l’aide du célèbre chanteur Sting, ancien bassiste de The Police pour accompagner cette musique entrainante et dynamique. On vous garantit que vous allez avoir cette mélodie dans la tête quelques heures !
Un site web www.hiringchain.org a également été créé afin de favoriser les échanges entre les entreprises inspirées par le clip et les organisations du monde entier habilitées à intégrer des personnes atteintes du syndrome de Down sur un lieu de travail.
Une campagne pleine d’intelligence, de bienveillance composée d’un clip dont le message est sans équivoque et un site très bien construit. Tout cela pour une cause importante. N’est-il pas temps de bousculer les codes établis, vous ne pensez pas ?
Vous souhaitez développer un site afin de mettre en lumière votre marque et vos produits/services sur le web ? Vous ne savez pas comment retranscrire sur papier la vision que vous avez pour ce projet ou même par quoi commencer ? Il est primordial de consacrer du temps aux questions suivantes avant de vous lancer :
Une fois que ces étapes ont été balisées, vous pouvez passer à l’élaboration de la structure désirée.
Vous pourriez être tentés d’utiliser un logiciel de la suite Microsoft Office pour ce genre d’exercice mais comme toujours, quand un programme n’est pas forcément dévolu à une tâche précise, on se heurte vite à des limites qui peuvent nous faire perdre du temps et de l’énergie. Pourtant, il existe un outil pragmatique qu’on utilise régulièrement chez Feezy pour nos projets : Balsamiq.cloud.
Avantages
Inconvénients
Prix
L’option gratuite permet de créer des maquettes pendant 30 jours. Vous pourrez ensuite choisir entre 3 offres de 10$/mois, de 50$/mois, ou encore à celle de 200$/mois selon vos besoins et le nombre de projets que vous voulez développer.
Évaluation
Utilisation : ****
Interface : ****
Coût : * (30 jours gratuits)